Quelques nuages
Abus de violence verbale … ?
Je récidive et je signe, mon amie, avec une seconde promesse électorale non tenue … Sans aucun remords, d’ailleurs. Tout cela, afin de te faire connaître quelques mots et expressions à proscrire du vocabulaire de nos politiciens fédéraux, jusqu’aux élections, le 23 janvier prochain.
1. Disparaître : Rêvant éveillé d’une majorité absolue, au Québec, en pensant aux libéraux fédéraux, Gilles Duceppe a souhaité « les faire disparaître » … de la carte électorale. Un peu à la manière d’une sorcière bien-aimée! PFFITTT!
Évidemment, cela a vite fait bondir Jean Lapierre, qui a décidé de se déguiser en MP (Military Police) du langage, durant cette campagne. Aussitôt dit, aussitôt fait, le mot « nazi » est sorti de sa bouche, comme une vipère au poing.
Or, à court de promesses, car les ayant toutes faites avant le déclenchement des élections, son chef, Paul Martin, a eu l’idée origéniale de vouloir bannir les armes de poing, interdites au Canada, depuis 70 ans.
Comme tu vois, si tout ce beau monde continue à se vomir dessus comme des membres en règle de gangs de rues, je sens qu’on va devoir se relever les manches pour en venir aux poings. Points forts? Points faibles? D’exclamation? D’interrogation? À la ligne? Si seulement, on le savait!
2. Mort : « Vous avez Gilles Duceppe aux trousses et vous n'êtes pas mieux que mort.» a dit le bloquiste, Michel Gauthier, à son rival libéral, André Harvey, au Saguenay-Lac-St-Jean. Sauf que, mon amie, «T'es pas mieux que mort, c'est comme t'es pas sorti de l'auberge ou t'es pas sorti du bois … »
À qui le dis-tu? Surtout que dans le parc des Laurentides et dans les monts Valin, la forêt est si dense, mon amie, qu'aucun arbre n’arrive à la cacher. Et ce n'est pas tout. On dit que les Bleuets et les Bleuettes qui passent par là sont bien capables de prendre Gilles Duceppe pour un orignal et vice versa ...
3. Mourir : Si nos humoristes sont morts de rire présentement, (l'humour au Québec, ce sont, chaque année : 750 emplois à temps plein, 42 M$ de recettes, 7,5 M$ de retombées fiscales et un million et demi de spectateurs), les libéraux fédéraux, eux, sont morts de rire chaque fois qu’ils violent nos lois et nos droits au Québec.
Alors que la plupart des Québécois sont au courant de ça depuis des lustres, la LNI, elle, vient de l’apprendre à ses dépens. Pauvres eux autres!
Je récidive et je signe, mon amie, avec une seconde promesse électorale non tenue … Sans aucun remords, d’ailleurs. Tout cela, afin de te faire connaître quelques mots et expressions à proscrire du vocabulaire de nos politiciens fédéraux, jusqu’aux élections, le 23 janvier prochain.
1. Disparaître : Rêvant éveillé d’une majorité absolue, au Québec, en pensant aux libéraux fédéraux, Gilles Duceppe a souhaité « les faire disparaître » … de la carte électorale. Un peu à la manière d’une sorcière bien-aimée! PFFITTT!
Évidemment, cela a vite fait bondir Jean Lapierre, qui a décidé de se déguiser en MP (Military Police) du langage, durant cette campagne. Aussitôt dit, aussitôt fait, le mot « nazi » est sorti de sa bouche, comme une vipère au poing.
Or, à court de promesses, car les ayant toutes faites avant le déclenchement des élections, son chef, Paul Martin, a eu l’idée origéniale de vouloir bannir les armes de poing, interdites au Canada, depuis 70 ans.
Comme tu vois, si tout ce beau monde continue à se vomir dessus comme des membres en règle de gangs de rues, je sens qu’on va devoir se relever les manches pour en venir aux poings. Points forts? Points faibles? D’exclamation? D’interrogation? À la ligne? Si seulement, on le savait!
2. Mort : « Vous avez Gilles Duceppe aux trousses et vous n'êtes pas mieux que mort.» a dit le bloquiste, Michel Gauthier, à son rival libéral, André Harvey, au Saguenay-Lac-St-Jean. Sauf que, mon amie, «T'es pas mieux que mort, c'est comme t'es pas sorti de l'auberge ou t'es pas sorti du bois … »
À qui le dis-tu? Surtout que dans le parc des Laurentides et dans les monts Valin, la forêt est si dense, mon amie, qu'aucun arbre n’arrive à la cacher. Et ce n'est pas tout. On dit que les Bleuets et les Bleuettes qui passent par là sont bien capables de prendre Gilles Duceppe pour un orignal et vice versa ...
3. Mourir : Si nos humoristes sont morts de rire présentement, (l'humour au Québec, ce sont, chaque année : 750 emplois à temps plein, 42 M$ de recettes, 7,5 M$ de retombées fiscales et un million et demi de spectateurs), les libéraux fédéraux, eux, sont morts de rire chaque fois qu’ils violent nos lois et nos droits au Québec.
Alors que la plupart des Québécois sont au courant de ça depuis des lustres, la LNI, elle, vient de l’apprendre à ses dépens. Pauvres eux autres!
Or, à ce chapitre, en ce moment, les libéraux doivent tous mourir de rire en se noyant dans l’arrogance de leurs publicités improvisées à la télé, tandis que les spectateurs de toutes allégeances dégoûtés brandissent leurs bières haut dans les airs en se gavant de pop corn ...
Tu comprendras, qu’à voir tant d’hypocrisie fleurir comme des fleurs du mal sur les lèvres de toutes les vierges offensées (libérales pour la plupart), on ne serait pas surpris, mon amie, que d’ici Noël, même leur chien finisse par mourir d’empoisonnement verbal.
À toi pour toujours,
May West
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